Une étude de Stephen Hope et Susan King intitulée Public Attitudes to Participation (pdf) conduite en Écosse conclut que les habitant-es des communautés rurales sont plus susceptibles de connaître leurs représentant-es politiques et d’être engagés dans une association. Le manque de connaissances sur les possibilités d’être consulté et le scepticisme quant à la valeur de ces consultations sont les deux freins à la participation le plus souvent mentionnés.
Trois facteurs pourraient conduire les citoyen-nes à augmenter leur implication dans les processus décisionnels : que la question les touche personnellement; qu’elle concerne la localité immédiate; que ce soit une question à laquelle ils tiennent fortement. Par ailleurs, pour 40% des répondant-es, rien ne saurait les encourager à s’impliquer davantage. Parmi ceux et celles pouvant être encouragés, 30% disaient souhaiter plus d’information.
Source : Gilles en vrac, 28.09.2005