Le 3 novembre au campus Saint-Jérôme de l'UQO avait lieu une classe magistrale en études féministes organisée par le RéQEF en collaboration avec l'ORÉGAND. Quatre étudiant-es y ont présenté leur projet de thèse ou de mémoire :
- Mélissa Côté-Douyon (maîtrise en urbanisme, Université de Montréal) : « Vie urbaine des jeunes femmes hanoïennes ».
- Marie-Ève Desroches (maîtrise en études urbaines, UQAM) : « Transformation des quartiers centraux, mobilisations et évolution du droit à la ville des femmes : étude de cas du quartier Sainte-Marie à Montréal »
- Benoît Frate (doctorat en droit, Université d’Ottawa) : « Les droits de la personne urbanisés : le citadin face à l’architecture légale de la ville »
- Frédérique Roy-Trempe (doctorat en Études urbaines, UQAM) : « L’exercice du droit à la ville des femmes et des hommes et l’influence des aménagements urbains : une étude de cas montréalaise »
Consultez le résumé de leurs présentations, que ces professeures commentaient :
- Caroline Andrew, politicologue, directrice du Centre d’études en gouvernance, Université d’Ottawa
- Denyse Côté, politicologue et sociologue, directrice de l’ORÉGAND (UQO), membre associée au CRISES et de l’UMR PACTE-Territoire (CNRS)
- Sophie Louargant, géographe, Université Pierre-Mendès-France et UMR PACTE-Territoire (CNRS)
- Sylvie Paré, géographe, urbaniste et sociologue, Département d’études urbaines et touristiques (ESG-UQAM), membre de Villes Régions Monde et présidente de l’APÉRAU
- Catherine Trudelle, aménagiste et géographe, titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur les conflits socio-territoriaux et la gouvernance locale, Département de géographie, UQAM.