« Des stages, c’est payant! » clame l’Université de Sherbrooke à propos de son programme en génie mécanique. Ce n’est pas le cas en soins infirmiers ou en enseignement, des domaines traditionnellement investis par des femmes. C’est contre cette inégalité que luttent les Comités unitaires pour le travail étudiant (CUTE) depuis un an. Leur revendication : la rémunération de tous les stages. Dans le cadre de leur campagne, le 18 mai, les CUTE organisaient une conférence avec la théoricienne et militante féministe Silvia Federici. Lire la suite du résumé qu'en a fait le Collectif Hexen.
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